Investir dans l’immobilier permet de diversifier son patrimoine mais surtout de se constituer un patrimoine durable. La pierre reste un placement sécuritaire qui a vocation à prendre de la valeur.
Préparer sa retraite grâce à l’investissement immobilier
Lorsque le logement est acquis, les revenus locatifs perçus viennent rembourser tout ou en partie l’emprunt souscrit. C’est au terme de celui-ci, que les loyers perçus viennent véritablement apporter des revenus complémentaires au foyer. A l’âge de la retraite, les revenus locatifs permettent également de compléter le manque à gagner.
Investir pour protéger sa famille
En investissant dans un bien immobilier, le contribuable va souscrire à un emprunt pour le financer. Il protège par ce biais sa famille grâce à l’assurance emprunteur. Ce mécanisme joue en cas de décès ou d’invalidité du titulaire du prêt et vient alors rembourser l’intégralité du capital restant dû sans faire appel aux héritiers (conjoint, enfants…). Le blog immobilier FGME vient nous apporter tous ces détails ci-après.
Protéger son conjoint grâce à l’investissement immobilier
Il existe de nombreuses manières de protéger son conjoint : la donation au dernier vivant, l’assurance-vie, etc.
Néanmoins, lorsqu’un contribuable investit dans l’immobilier, indirectement, il immunise son conjoint d’une conséquence financière que ce dernier pourrait éventuellement supporter.
Dans cette logique, deux paramètres conduisent à favoriser le conjoint lors d’une acquisition immobilière :
- L’assurance emprunteur
- Les revenus locatifs
Assurance emprunteur
Lorsqu’un contribuable investit dans l’immobilier, il réalise cette opération par l’endettement (sauf exception). A ce titre, il va donc souscrire à un crédit immobilier et par conséquent à une assurance emprunteur (celle-ci étant obligatoire mais pas nécessairement celle commercialisée par l’organisme prêteur).
Lorsqu’un emprunteur n’est pas en mesure, pour cause de décès en particulier, de rembourser une mensualité de prêt, l’assurance emprunteur prend en charge le remboursement de cette mensualité.
Il convient alors de distinguer les assurances portant sur le risque décès et celles couvrant une invalidité ou une incapacité :
- L’assurance décès : en cas de décès de l’assuré (ou emprunteur), l’assureur rembourse intégralement les mensualités de prêts restantes. Quel que soit le régime matrimonial, le conjoint survivant ne sera jamais amené à rembourser le capital restant dû.
- L’assurance invalidité : la logique est identique : l’organisme assureur prendra en charge toutes les mensualités de remboursement pendant toute la durée d’invalidité de l’assuré et sans tenir compte de ses revenus.
Par conséquent, qu’elle couvre le décès ou l’invalidité de l’assuré, l’assurance emprunteur est un moyen simple de protéger son conjoint.
Les revenus locatifs
En investissant dans un ou plusieurs biens immobiliers, le contribuable se construit du patrimoine et notamment un patrimoine de rapport. En effet, l’acquisition d’un bien immobilier conduit naturellement à sa mise en location.
Les revenus tirés de la location permettent dans un premier temps de rembourser les mensualités d’emprunt. Mais, en cas de décès de l’emprunteur, l’assurance emprunteur s’acquitte du capital restant dû et les revenus locatifs deviennent alors pleinement des revenus complémentaires pour le conjoint survivant.
Taux actuels historiquement bas
Depuis le début des années 2000, les taux longs terme ne cessent de décroître, particulièrement depuis 2016. Il atteint aujourd’hui un minimum historique ce qui permet au contribuable d’emprunter à moindre coût.